Daniel
ROTH |
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une montre finalement très discrète, aux courbes et charmes subtils |
Le
cadran, cuivré, très ouvragé, très équilibré. Suivant les moments, on restera accroché par sa complexité et sa beauté, en s'arrêtant sur ses nombreux détails, ou on sera charmé par sa classe, sa discrétion, son élégance. |
Un fond, d'une généreuse ouverture, laisse au regard une totale liberté pour admirer le El Primero Z400 qui anime ce chronographe | |
Quelques détails sur ce mouvement battant 36.000 fois l'heure |
Des poussoirs doux et discrets commandent le chrono. |
Un
garde-temps qui se méthamorphose suivant la chaleur de la lumière. Cette lumière me rappele les salons anglais... |
Signée
: |
J'ai découvert cette montre il y a 2 ans, lors d'une tarte flambée. Elle m'avait de suite beaucoup plu. Grâce à la tranquille détermination de Tintin qui me proposait de me la confier à chaque fois qu'on se voyait, j'ai laissé mûrir le projet de ce portrait.
Grand merci à toi, tu as su me parler de cette montre, et accepter de me la confier quand je l'ai désirée. J'ai ainsi pu prendre le temps de l'apprécier et tâcher de rendre grâce à son élégance.
Sans Valentine et
Arlette, ce portrait n'aurait pas été ce qu'il est. L'écrin en bois sur
lequel la montre est présentée, provient de l'arrière grand-père de
Valentine, qui a passé la sale guerre dans les tranchées, à jouer aux
échecs.
Cet échiquier provient d'Alger. Fez, Minarets, Zébus, Chapeau du
dimanche... tous les ingrédients de là-bas !
Deniz